L’exemple phare est Wikipédia. Comment est-ce possible qu’en laissant la plume à Monsieur et Madame Tout-Le-Monde, une telle richesse émerge et non un chaos de briques d’information éparses ? Le choix de la gouvernance est la clé. Si tout le monde écrit, tout le monde discute, débat, corrige, propose, s’engage… C’est une forme d’autosurveillance ou de surveillance mutuelle orientée par des valeurs et des règles claires et simples. Pour plus d’information à ce sujet, les lecteurs intéressés taperont « wikipedia » sur « wikipedia ».

La gouvernance des solutions F(L)OSS – pour Free, Libre, Open Source Software – fonctionne avec un mécanisme comparable. Mais plutôt que de redire ce qui est déjà bien dit ailleurs, veuillez consulter cette page (Blog du YOUKI) : https://blog.byzline.ch/2020/10/04/lopen-source-les-risques-de-sa-chaine-logistique-et-les-forces-de-sa-gouvernance/ . Certes, certains points sont un peu techniques, mais les forces et les limites de cette gouvernance participative propre aux solutions F(L)OSS sont débattues et montrent que les rêveries hippies des pionniers du web sont encore quelque peu présentes.
bonne lecture
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